Au cœur de la Bavière dans les années 1960, un château où tout ce qui est imparfait doit être effacé. Habitée par la passion de l’art dès son plus jeune âge, Annabelle y puisera-t-elle la force de sortir du rang ? Aura-t-elle le courage de s’affranchir des diktats esthétiques et élitistes de son milieu ? Comment, en devenant une jeune femme, parviendra-t-elle à se libérer du fardeau qu’elle a la sensation de porter en elle depuis toujours ?
Le style pictural et poétique de ce roman entraîne irrésistiblement le lecteur dans l’univers d’Annabelle si attachante et « dessinée de travers ».
Ouvrage imprimé à la Fabrique de Livres de Tours, en dos carré collé, de 286 pages.
MAURER Ivan –
J’ai beaucoup aimé cette histoire de famille aristocratique allemande où tout doit être parfait et sous contrôle. Mais Annabelle n’est pas aussi belle que sa cousine et on lui fait bien sentir ! On suit le parcours de la jeune fille, on souffre avec elle, et on assiste avec émotion à sa reconstruction psychologique. Un beau moment de lecture ! Je recommande.
catherine Sirguey (client confirmé) –
Quelle personnalité cette Annabelle !
Quand un jardinier s’obstine à planter ses carottes dans une terre caillouteuse, les légumes poussent tordus, difformes.
C’est ainsi qu’a grandi la petite fille, accumulant les incidents de santé, sans vraiment comprendre pourquoi.
Le roman, sur un thème, somme toute, banal, m’a tenue en haleine jusqu’au bout tant l’auteur donne de la densité à son personnage principal.
Je trouve que la quatrième de couverture est peu alléchante par rapport au contenu du livre.